Après son lancement en <a href="http://www.alicesgarden.es/">Espagne</a> l’hiver dernier, le spécialiste du mobilier outdoor <a href="http://www.alicesgarden.fr/">Alice’s Garden</a> a récemment ouvert ses portes au Royaume-Uni avec un nouveau site e-commerce : <a href="http://www.alicesgarden.co.uk/">alicesgarden.co.uk</a>. 



<div class="wp-block-image"><figure class="aligncenter size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/09/Screenshot_2021-09-07-Alices-Garden-The-Garden-Furniture-Specialists-1024x548.png" alt="" class="wp-image-2566" width="768" height="411" srcset="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/09/Screenshot_2021-09-07-Alices-Garden-The-Garden-Furniture-Specialists-1024x548.png 1024w, https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/09/Screenshot_2021-09-07-Alices-Garden-The-Garden-Furniture-Specialists-600x321.png 600w, https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/09/Screenshot_2021-09-07-Alices-Garden-The-Garden-Furniture-Specialists-300x161.png 300w, https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/09/Screenshot_2021-09-07-Alices-Garden-The-Garden-Furniture-Specialists-768x411.png 768w, https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/09/Screenshot_2021-09-07-Alices-Garden-The-Garden-Furniture-Specialists-1536x823.png 1536w, https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/09/Screenshot_2021-09-07-Alices-Garden-The-Garden-Furniture-Specialists.png 1908w" sizes="(max-width: 768px) 100vw, 768px" /></figure></div>







Cette version britannique est développée avec les frameworks Open Source <a href="https://symfony.com/">Symfony 3.1</a> et <a href="https://angularjs.org/">AngularJS</a>. Ces choix techniques ont notamment été décidés afin d’optimiser dans un premier temps le référencement de l’application tout en conservant une bonne expérience utilisateur. Sur la base d’une <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Representational_state_transfer">API REST</a> existante, nous avons également mis en place le moteur de recherche <a href="https://www.elastic.co/fr/products/elasticsearch">Elasticsearch</a> afin d’optimiser l’affichage et le filtrage des produits disponibles. La partie Symfony, elle, s’occupe de récupérer les informations des produits depuis l’API afin d’afficher les pages produits, les pages de catégories, les derniers produits achetés, etc. La partie Angular, quant à elle, gère les pages dites “privées” (lorsqu’un utilisateur est connecté) afin d’afficher l’historique des commandes, les informations clients et également le processus de commande.



L&rsquo;administration du site se fait via un backoffice de gestion des produits et commandes que nous avons conçu pour le client, lui aussi connecté à la même API afin d’utiliser un logiciel de gestion unique.



Le lancement de cette version Made in UK n’est pas notre dernier projet en date avec Walibuy : le site e-commerce axé sur la Belgique est en cours de réalisation pour une mise en production l’année prochaine, avec la même base de code que le projet existant.



Chez Les-Tilleuls.coop, nous sommes ravis qu’Alice’s Garden nous fasse confiance depuis plus de 5 ans pour leurs projets e-commerce les plus ambitieux ! Un projet dont vous souhaitez discuter ? <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/contact">N’hésitez pas à nous contacter</a>

Nouvelle réalisation : Alice’s Garden UK

Après son lancement en Espagne l’hiver dernier, le spécialiste du mobilier outdoor Alice’s Garden a récemment ouvert ses portes au Royaume-Uni avec un nouveau site e-commerce : alicesgarden.co.uk. Cette version britannique est développée avec les frameworks Open Source Symfony 3.1 et AngularJS. Ces choix techniques ont notamment été décidés afin d’optimiser dans un premier temps [&hellip;]

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Quentin Barloy

Qu&rsquo;est ce qu&rsquo;un tableau Kanban ? &nbsp;


Les 14 et 15 septembre 2016 à San Francisco s’est tenu devant 1 400 personnes le <a href="http://githubuniverse.com/program/" target="_blank" rel="noopener">GitHub Universe</a>, soit la deuxième édition de la conférence annuelle de <a href="https://github.com/" target="_blank" rel="noopener">GitHub</a>, un service d’hébergement et de gestion collaborative de développement dont Microsoft est <a href="http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-microsoft-1er-en-nombre-de-contributeurs-sur-github-65972.html" target="_blank" rel="noopener">devenu depuis peu le premier contributeur</a>. De <a href="https://github.com/blog/2256-a-whole-new-github-universe-announcing-new-tools-forums-and-features" target="_blank" rel="noopener">nombreuses nouveautés ont été annoncées</a>, certaines axées sur l’amélioration des API GitHub, d’autres encore sur la sécurité de l’outil. Deux points ont marqué particulièrement les esprits :



<ul><li>GitHub review, un outil de révision de code facilitant les commentaires et les échanges sur les lignes de code,</li><li>GitHub project, un outil de suivi des tâches s’inspirant du tableau Kanban et venant concurrencer les solutions proposées jusqu’ici par Trello, Jira ou Asana.</li></ul>



<iframe loading="lazy" src="https://www.youtube.com/embed/C6MGKHkNtxU" allowfullscreen="allowfullscreen" width="860" height="415" frameborder="0"></iframe>



<h2>Qu’est ce qu’un tableau Kanban ? &nbsp;</h2>



Derrière ce terme japonais, signifiant « étiquette » ou « carte », se cache un système utilisé initialement dans les usines Toyota pour visualiser l&rsquo;évolution du travail des équipes dans le processus de production. Pour ce faire, l’unité indique via une carte l’état d’avancement de son travail qu’elle place ensuite sur un tableau, généralement divisé en trois sections: « en attente », « en cours » et « réalisé ». Les collaborateurs déplacent chaque carte d&rsquo;une colonne à l&rsquo;autre du tableau pour représenter l&rsquo;évolution du projet.



L’utilisation de ces tableaux a été reprise dans les projets Agile et permet aux équipes de disposer d’un support visuel, physique ou digital, pour comprendre l&rsquo;état courant d&rsquo;un projet. &nbsp;



<h2>Comment utiliser GitHub Project ?</h2>



L’interface proposée par GitHub reprend <a href="http://ressources.blogdumoderateur.com/2016/09/github-projects.gif" target="_blank" rel="noopener">les codes du genre</a> en permettant :



<ul><li>d’organiser les tâches en colonnes,</li><li>de déplacer en drag and drop une tâche d’une colonne à une autre,</li><li>d’assigner une tâche à un membre du projet,</li><li>d’ajouter un tag (catégorie) aux tâches.</li></ul>



Project laisse aux utilisateurs la possibilité de personnaliser leurs workflows. Ainsi, chaque membre peut traquer ou prioriser telle ou telle tâche, créer des checklists, etc.



<h2>Pourquoi utiliser GitHub Project ?</h2>



L’intérêt du tableau Kanban réside dans sa simplicité et sa capacité à renvoyer un feedback permanent sur l’avancement des tâches. De plus, il s’adapte facilement aux différents projets et aux différentes personnes impliquées et ce en offrant notamment la possibilité de personnaliser l’intitulé et le nombre des colonnes.



Dans la pratique GitHub Project sert aux équipes de support pour faire circuler l’information. Il favorise l’interaction mais également le partage des difficultés et du niveau de charge de chacun. Ainsi, il s’avère être un moyen efficace pour répartir le travail, développer une solidarité et capitaliser sur les expériences de l’équipe.



Avec Project, GitHub renforce son offre d’outils de gestion de projet. Project devient le parfait complément de Git Flow &#8211; permettant la gestion du workflow de développement, mais aussi de Scrutinizr, Code Climate ou SensioLabs Insight &#8211; permettant de centraliser le code source, récupérer les retours des systèmes d&rsquo;intégration continue et analyser la qualité du code en temps réel. GitHub est aujourd’hui un outil central dans la création, la gestion et le suivi de projets de développement.



Chez <a href="https://les-tilleuls.coop/fr" target="_blank" rel="noopener">Les-Tilleuls.coop</a>, en plus de GitHub Project, nous utilisons <a href="https://fr.atlassian.com/software/jira" target="_blank" rel="noopener">Jira</a>, afin d’animer et structurer les itérations des projets, mais aussi <a href="https://trello.com/" target="_blank" rel="noopener">Trello</a>, pour fluidifier notre organisation interne. Ces outils sont incontournables mais ils ne sont par contre pas à opposer, chacun ayant ses spécificités. Jira, plus pointu mais moins aisé dans son administration, offre une multitude de solutions (son catalogue compte plus d’une centaine de plug-ins) et de métriques pour s’assurer de la bonne vélocité d’une itération. Trello, plus léger et plus simple d’utilisation, sert à regrouper et prioriser des tâches, il est idéal pour des projets courts ou sans gros enjeux. GitHub Project, a priori, se situe entre les deux.

Quelle place pour GitHub Project face à Jira et Trello dans votre organisation Agile ?

Les 14 et 15 septembre 2016 à San Francisco s’est tenu devant 1 400 personnes le GitHub Universe, soit la deuxième édition de la conférence annuelle de GitHub, un service d’hébergement et de gestion collaborative de développement dont Microsoft est devenu depuis peu le premier contributeur. De nombreuses nouveautés ont été annoncées, certaines axées sur [&hellip;]

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Jean Ralphio

Citiz, qu&rsquo;est-ce que c&rsquo;est ?


En 2013, <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/blog/article/france-autopartage-devient-citiz">Citiz, premier réseau coopératif d’autopartage en France, avait fait appel à nous pour réaliser son portail web</a>. Près de trois années plus tard, une petite remise en beauté s’imposait. Cette mission, Citiz a choisi de nous la confier.



<h2>Citiz, qu’est-ce que c’est ?</h2>



<div class="wp-block-image"><figure class="aligncenter"><img src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/08/135.png" alt="citiz refonte" title="citiz refonte"/></figure></div>







Fondé en 2002, <a href="http://citiz.coop/">Citiz</a> — anciennement France Autopartage — est un réseau national d’autopartage qui regroupe 15 opérateurs locaux, de <a href="http://www.lilas-autopartage.fr/">Lille</a> à <a href="http://toulouse.citiz.coop/">Toulouse</a> en passant par <a href="http://mobigo.citiz.coop/">Dijon</a>. <a href="http://citiz.coop/stations">Présent dans plus de 80 villes françaises</a>, il met à disposition de ses 20 000 utilisateurs une flotte de 1000 véhicules répartis sur près de 500 stations. Accessibles en libre-service 24h/24, les voitures Citiz peuvent être réservées en toute simplicité via le portail ou <a href="http://citiz.coop/systme-technique/l-appli-mobile">l’application mobile</a> dédiée et ce, pour la durée souhaitée. Une fois leur trajet effectué, les usagers n’ont plus qu’à redéposer le véhicule emprunté sur son emplacement initial. Une alternative à la voiture personnelle économique, éco-friendly&#8230; et à la portée de tous !



<h2>Un design revisité</h2>



Afin d’offrir à son portail et à ses déclinaisons locales une seconde jeunesse, Citiz a opté pour un nouveau look à la fois élégant et fonctionnel. Son mot clef : l’utilisabilité. La hiérarchisation des contenus a été soigneusement revue pour une meilleure lisibilité des informations et un parcours conjuguant fluidité et efficacité. Moderne et épurée, l’interface conserve les coloris emblématiques de l’univers Citiz tout en les mettant en valeur dans une ambiance plus claire et lumineuse. Un confort de navigation optimal pour une expérience utilisateur agréable.



<div class="wp-block-image"><figure class="aligncenter"><img src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/08/137.png" alt="citiz alsace" title="citiz alsace"/></figure></div>



Chez Les-Tilleuls.coop, nous sommes fiers d’accompagner Citiz depuis plus de 4 ans dans la réalisation de <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/blog/article/nouvelle-realisation-la-refonte-de-yea-pour-citiz">ses projets web</a> et <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/blog/article/nouvelle-version-de-l-application-citiz">mobiles</a>&nbsp;et d’apporter notre contribution à la démocratisation de l’autopartage en France. <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/contact">Si vous avez un projet, n’hésitez pas à nous contacter pour en discuter !</a>

Nouvelle réalisation : la refonte du portail Citiz

En 2013, Citiz, premier réseau coopératif d’autopartage en France, avait fait appel à nous pour réaliser son portail web. Près de trois années plus tard, une petite remise en beauté s’imposait. Cette mission, Citiz a choisi de nous la confier. Citiz, qu’est-ce que c’est ? Fondé en 2002, Citiz — anciennement France Autopartage — est [&hellip;]

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Leslie Debaisieux

Scénario: Je crée un nouveau post 
 Étant donné que l’opérateur est authentifié comme superadmin
 Et que l’opérateur crée un nouveau post
 Alors ce nouveau post devrait être publiquement visible

/**
    @When l’opérateur crée un nouveau post
 */
public function createANewPost()
{
    $operator = $this->operator;
    $postManager->createPost($operator, ‘THIS IS SOME POST CONTENT’);
}

A la d&eacute;couverte de l&rsquo;extension BehatScenarioState


Fonctionnalité : Un singe ramasse des bananes
 
Scénario: Le singe donne une banane à un autre singe
 Quand le bonobo prend une banane
 Et que le bonobo donne cette banane au « gorille »

/**
 * @When le bonobo prend une banane
 */
public function takeBanana()
{
    $banana = ’Yammy Banana’;
    $bonobo = new Bonobo(’Gerard’);// Ici, la banane « Yammy Banana » est partagée aux étapes suivantes à travers la clef « scenarioBanana »
    $this->scenarioState->provideStateFragment(’scenarioBanana’, $banana);

    // Ici, le bonobo Gerard est partagé aux étapes suivantes à travers la clef « scenarioBonobo »
    $this->scenarioState->provideStateFragment(’scenarioBonobo’, $bonobo);
}

Consommer un fragment d&rsquo;&eacute;tat


use GorghoaScenarioStateBehatExtensionAnnotationScenarioStateArgument;

/**
 * @When le bonobo donne cette banane à : singe
 *
 * @ScenarioStateArgument(“scenarioBanana”)
 * @ScenarioStateArgument(name=”scenarioBonobo”, argument=”bonobo”)
 *
 * @param string $monkey
 * @param string $scenarioBanana
 * @param Bonobo $bonobo
 */
public function giveBananaToGorilla
(
    $monkey,
    $scenarioBanana,
    Bonobo $bonobo
)
{
    // note: assertEquals are purely fictive functions here
    assertEquals($monkey, 'gorilla');
    assertEquals($scenarioBanana, 'Yammy Banana');
    assertEquals($bonobo->getName(), 'Gerard');
}

<h2>Introduction</h2>



<div class="wp-block-image"><figure class="aligncenter is-resized"><img src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/08/96.png" alt="Behat logo" width="300" title="Behat logo"/></figure></div>







L’état est à la base des scénarios Behat. Tout d’abord, vous déterminez l’état du système sous test (SUT) avec les étapes « Given » (Étant donné que). Ensuite, vous continuez à manipuler votre système à travers les étapes « When » (Quand) (toujours en modifiant l’état du système sous test) et, pour finir, vous testez l’état final à travers les étapes « Then » (Alors).



Lorsque vous testez un système comme une application monopage ou un site web à états, l’état final d’un scénario est géré par le système sous test (que ce soit par le navigateur, la session php ou autre).



Mais lorsque vous testez un système sans état tel qu’une API, par définition, l’état final n’est plus géré par le système sous test. Cela nous laisse la responsabilité de gérer l’état final dans les classes Context.



<h2>Solutions</h2>



Il existe des solutions pour gérer l’état du scénario. La façon la plus communément admise de gérer cette problématique est la suivante : en combinant le fait que les contextes sont créés pour chaque scénario (c’est à dire que les instances Context ne sont pas les mêmes d’un scénario à l’autre) et qu’ils sont des classes php toutes simples. On peut facilement assigner des propriétés de classe avec « $this », et chaque méthode du contexte peut désormais accéder à la même propriété dans la classe Context. Sans compter que vous pouvez facilement injecter une instance Context dans une autre (voir <a href="http://docs.behat.org/en/v2.5/guides/4.context.html#using-subcontexts" target="_top" rel="noopener">http://docs.behat.org/en/v2.5/guides/4.context.html#using-subcontexts</a>).



Cela fonctionne plutôt bien, mais il y a quelques inconvénients dérangeants :



<ul><li style="text-align: justify;">C’est quelque peu verbeux, vous devez injecter des contextes, écrire des setters, des getters…</li><li style="text-align: justify;">Ici, il y a un couplage entre deux contextes qui brouille leurs responsabilités.</li><li style="text-align: justify;">Vous (le développeur) **devez** savoir quel contexte gère l’état dont vous avez besoin.</li><li style="text-align: justify;">Les méthodes des étapes ne déclarent pas leurs dépendances à un fragment de l’état précédent.</li></ul>



Le couplage induit par cette méthode est quelque peu insidieux car il commence dans les fichiers sources Gherkin !



Imaginons ces deux scénarios :





Ici, les deux étapes importantes sont : « Étant donné que l’opérateur est authentifié comme superadmin » et « Étant donné que l’opérateur est un cron ».&nbsp;Elles contribuent toutes deux à l’état en fournissant aux étapes suivantes un opérateur qui devrait être capable de créer un nouveau post.&nbsp;Les autres étapes sont exactement les mêmes et partagent de ce fait la même méthode de classe Context.&nbsp;Si toutes les étapes sont écrites dans la même classe Context, pas de problème. Assignez tout simplement l’opérateur précédemment instancié à une propriété de classe « $operator ».



Et nous pouvons facilement imaginer une méthode Context comme celle-ci :





Mais si vous souhaitez avoir 3 contextes spécifiques :



<ul><li style="text-align: justify;">WebContext, dont la responsabilité est de gérer l’authentification dans un navigateur ;</li><li style="text-align: justify;">CliContext, dont la responsabilité est de gérer l’authentification depuis une console CLI ;</li><li style="text-align: justify;">PostContext, dont la responsabilité est de gérer la manipulation des posts.</li></ul>



WebContext et CliContext doivent donner l’instance de l’objet contenant l’opérateur au PostContext, probablement à travers un setter.



PostContext doit être injecté dans WebContext et CliContext afin qu’ils puissent appeler la méthode PostContext::setOperator().



Oui… Bon&#8230; Ça fonctionne. Mais cela risque de devenir pénible lorsque vous aurez besoin d’autres contextes qui nécessitent un opérateur. Vous devrez injecter chaque nouveau contexte à la fois dans WebContext et CliContext. Chaque nouveau contexte aura probablement besoin d’implémenter une sorte d’OperatorAwareInterface avec une méthode « setOperator(Operator $operator) » (car vous ne voulez pas que CliContext et WebContext sachent quelle méthode appeler dans chaque contexte), etc.



Bien entendu, vous pourriez ajouter une sorte de contexte « data » dont la responsabilité serait de stocker les données de l’état. Et vous savez quoi ? Nous l’avons fait pour vous sous la forme d’une extension Behat !



<h2>A la découverte de l’extension BehatScenarioState</h2>



Et si pendant leur exécution, les étapes pouvaient fournir une partie de l’état du scénario à un service de stockage puis injecter des fragments de l’étape aux étapes suivantes directement en tant que paramètres de méthode ?&nbsp;Pour cela, trois de nos développeurs, <a href="https://twitter.com/gorghoa?lang=en" target="_top" rel="noopener">Rodrigue Villetard</a>, <a href="https://twitter.com/vincentchalamon" target="_top" rel="noopener">Vincent Chalamon</a> et <a href="https://twitter.com/cDaed" target="_top" rel="noopener">Hamza Amrouche</a> ont créé l’extension <a href="https://github.com/gorghoa/ScenarioStateBehatExtension" target="_top" rel="noopener">ScenarioStateBehatExtension</a>.



Note : Si vous souhaitez des instructions plus précises à propos de l’installation et de l’utilisation de cette extension, nous vous recommandons de lire <a href="https://github.com/gorghoa/ScenarioStateBehatExtension/blob/master/README.md" target="_top" rel="noopener">le fichier readme</a>.



<h3>Utilisation</h3>



Cette extension Behat va permettre aux étapes du scénario de fournir et de consommer ce que nous appellerons des fragments de l’état final.&nbsp;Chaque scénario obtient son propre état, unique et isolé.



Imaginons une fonctionnalité comme celle-ci :





Vous voyez le **cette** banane ? Ce que nous voulons pendant l’exécution de la deuxième étape, c’est une référence à la banane précise que le bonobo a initialement prise.&nbsp;Cette extension Behat va nous aider à propager la référence de la banane à travers les étapes.



<h3>Fournir le fragment d’état</h3>



Vous pouvez fournir le fragment d’état grâce à la méthode « ScenarioStateInterface::provideStateFragment(string $key, mixed $value) ».





<h3>Consommer un fragment d’état</h3>



Pour consommer les fragments d’état fournis à l’état du scénario, vous devez ajouter les arguments nécessaires aux méthodes de l’étape en utilisant l’annotation « @ScenarioStateArgument », avec le nom du fragment d’état dont cette étape a besoin.





<h3>Avantages</h3>



Les avantages de cette méthode sont multiples :



<ul><li style="text-align: justify;">Les dépendances d’état des étapes ne sont plus associées à des contextes spécifiques ;</li><li style="text-align: justify;">Vous bénéficiez du type hinting php pour les arguments des méthodes ;</li><li style="text-align: justify;">Les tests échouent rapidement ;</li><li style="text-align: justify;">C’est une méthode concise.</li></ul>



<h2>Conclusion</h2>



Si vous lisez attentivement la partie installation, vous voyez peut-être le drapeau « <a href="http://twitter.com/RC" target="_top" rel="noopener">@RC</a> » sur la commande « composer require ».



Nous sommes confiants que l’extension est à présent assez stable. Mais avant de publier une version 1.0.0 officielle, nous aimerions avoir davantage de feedback de la communauté :



<ul><li style="text-align: justify;">L’idée/la conception de cette extension Behat a-t-elle du sens pour vous ?</li><li style="text-align: justify;">Cette extension vous semble-t-elle assez ergonomique pour votre codage quotidien avec Behat ?</li><li style="text-align: justify;">Peut-être avez vous déjà trouvé un moyen plus élégant de résoudre ce problème. Si oui, lequel ?</li></ul>



N’hésitez pas à venir nous en parler et à contribuer à ce projet : il est sous licence MIT !



<a href="https://github.com/gorghoa/ScenarioStateBehatExtension">https://github.com/gorghoa/ScenarioStateBehatExtension</a>

Tester une API stateless avec Behat

Introduction L’état est à la base des scénarios Behat. Tout d’abord, vous déterminez l’état du système sous test (SUT) avec les étapes « Given » (Étant donné que). Ensuite, vous continuez à manipuler votre système à travers les étapes « When » (Quand) (toujours en modifiant l’état du système sous test) et, pour finir, vous [&hellip;]

Tester une API stateless avec Behat | Les-Tilleuls.coop

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La r&eacute;alit&eacute; virtuelle, un nouveau canal de vente


La r&eacute;alit&eacute; virtuelle, un outil &eacute;v&eacute;nementiel


R&eacute;alit&eacute; virtuelle : les consommateurs disent oui !


La r&eacute;alit&eacute; virtuelle, un outil de projection


V-commerce : le shopping r&eacute;invent&eacute;


Le <a href="http://www.samsung.com/global/galaxy/wearables/gear-vr/" rel="nofollow">Gear VR</a> de Samsung, <a href="https://www.oculus.com/rift/" rel="nofollow">l’Oculus Rift</a> de Facebook, le <a href="http://store.steampowered.com/app/358040/" rel="nofollow">Vive</a> d’HTC et Valve : depuis la commercialisation des premiers casques de RV en début d’année, <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9alit%C3%A9_virtuelle" rel="nofollow">la réalité virtuelle</a> n&rsquo;en finit pas de faire parler d&rsquo;elle. Accueillie comme la grande révolution high tech de 2016, cette technologie aux allures futuristes qui immerge l’utilisateur dans un univers virtuel interactif enflamme les gamers… mais pas que. <a href="http://www.lsa-conso.fr/alibaba-mise-sur-le-shopping-par-realite-virtuelle-video,242886" rel="nofollow">Alibaba</a>, <a href="http://www.realite-virtuelle.com/mcdonald-vr-ameliorer-image" rel="nofollow">McDonald’s</a>, <a href="http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2016/04/06/32001-20160406ARTFIG00258-ikea-fait-visiter-ses-cuisines-en-realite-virtuelle.php" rel="nofollow">IKEA</a> : les retailers sont de plus en plus nombreux à succomber à son charme en l’intégrant à leur stratégie de vente. Un phénomène baptisé le V-commerce qui s’apprête à transformer le secteur du retail.



<h2>Réalité virtuelle : les consommateurs disent oui !</h2>



Si la tendance de la réalité virtuelle se répand chez les détaillants comme une traînée de poudre, c’est que les consommateurs les y attendent de pied ferme. En 2015, avant même que cette technologie ne s’ouvre au grand public, <a href="http://www.walkersands.com/pdf/2015-future-of-retail.pdf" rel="nofollow">l’étude Future of Retail signée Walker Sands</a> révélait déjà que 66 % des acheteurs se disaient intéressés par le concept de shopping virtuel. Plus récemment, <a href="http://www.greenlightinsights.com/2016/07/21/people-more-likely-to-buy-with-strategic-virtual-reality-use-according-to-new-study/" rel="nofollow">une enquête réalisée cette année par Greenlight VR</a> auprès d’un échantillon de 1300 personnes a dévoilé que 53 % d’entre elles seraient plus susceptibles d’acheter auprès d’une marque utilisant la RV qu’auprès d’une concurrente. Quant aux 13 000 sondés <a href="https://uk.westfield.com/london/how-we-shop-now" rel="nofollow">interrogés par la foncière de centres commerciaux Westfield</a>, 41 % ont déclaré être intéressés par la réalité virtuelle pour avoir un aperçu du rendu d’un produit chez eux et 33 % pour essayer des vêtements sans se rendre en magasin. Des chiffres prometteurs qui laissent présager au marché de la RV de beaux jours devant lui : <a href="http://www.digi-capital.com/news/2016/01/augmentedvirtual-reality-revenue-forecast-revised-to-hit-120-billion-by-2020/" rel="nofollow">d’ici 2020, il devrait peser pas moins de 120 milliards de dollars</a>. &nbsp;



<h2>V-commerce : le shopping réinventé</h2>



Chez les retailers, la réalité virtuelle a donc tout d’une poule aux œufs d’or. D’autant que pour les e-commerçants comme les acteurs brick &amp; mortar, elle offre d’alléchantes perspectives de développement&#8230; à condition de savoir en tirer profit.



<h3>La réalité virtuelle, un nouveau canal de vente</h3>



C’est le cas du géant de la vente en ligne <a href="http://www.ebay.com/" rel="nofollow">eBay</a> qui, en partenariat avec le plus grand retailer australien <a href="http://www.myer.com.au/" rel="nofollow">Myer</a>, a lancé en mai dernier <a href="https://www.ebayinc.com/stories/news/ebay-australia-helps-launch-the-worlds-first-virtual-reality-department-store-into-the-world-of-virtual-reality/" rel="nofollow">le premier magasin en réalité virtuelle</a>. <a href="http://www.startupdaily.net/wp-content/uploads/2016/05/shopticals3.jpg" rel="nofollow">Munis d’un « Shoptical »</a>, un casque de VR spécialement conçu pour l’occasion, les acheteurs australiens <a href="https://vr.ebay.com.au/" rel="nofollow">ayant préalablement téléchargé l’appli mobile</a> accèdent à un Myer Store entièrement virtuel. Différentes catégories de produits s’offrent à eux, de l’habillement aux articles de maison, avec 12 500 références disponibles. Grâce au système Sight Search, ils peuvent sélectionner l’article de leur choix en le fixant du regard, l’examiner sous tous les angles en 3D, accéder à ses informations (prix, disponibilité, livraison) et le placer dans leur panier pour finaliser ensuite leur achat via l’application eBay. Une expérience client inédite où les mondes physique et digital fusionnent pour créer un canal de vente complémentaire à l’heure de <a href="http://www.definitions-marketing.com/definition/omnicanal/" rel="nofollow">l’omnicanal</a>. Fini le stress des achats en magasin, exit les incertitudes du shopping en ligne : place à un parcours d’achat fun, efficace et rassurant !



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<h3>La réalité virtuelle, un outil événementiel</h3>



Pour lutter contre la désertion des magasins physiques et booster le trafic en point de vente, les marques de prêt-à-porter sont nombreuses à exploiter la réalité virtuelle comme outil événementiel. <a href="http://retail-innovation.com/top-shop-use-virtual-reality-headsets-for-catwalk/" rel="nofollow">Le retailer britannique Topshop</a> et <a href="http://www.nytimes.com/2015/10/21/business/tommy-hilfiger-introduces-virtual-reality-headsets-for-shoppers.html" rel="nofollow">la marque américaine Tommy Hilfiger</a> ont ainsi proposé à leur clientèle d’Oxford Street (Londres) pour l’une et de la 5th Avenue (New York) pour l’autre de revêtir un casque de RV afin d’assister à un show d’ordinaire réservé à une poignée d’initiés : un défilé de mode en 3D et à 360 degrés. De son côté, la marque de vêtements outdoor <a href="https://www.thenorthface.com/" rel="nofollow">The North Face</a> a organisé dans l’un de ses magasins Sud Coréens un happening pour le moins inattendu. Invités à s’asseoir sur un véritable traîneau, les clients ont pu vivre grâce au port de l’Oculus Rift une simulation de course de chiens de traîneau plus vraie que nature. Une fois leur masque retiré, ils tombaient nez à nez avec une horde de huskys de chair et d’os qui les entraînait aussitôt dans une course&#8230; en plein centre commercial ! Une opération de buzz marketing au poil où la réalité virtuelle vient enrichir l’expérience en magasin en y intégrant une dimension émotionnelle.



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<h3>La réalité virtuelle, un outil de projection</h3>



Avec son papier peint outrageusement fleuri et son carrelage à motifs improbables, votre cuisine a tout d’une machine à remonter le temps. C’est décidé : un sérieux ravalement de façade s’impose. Mais sur les catalogues en ligne ou dans l’univers impersonnel des boutiques de déco, difficile de se projeter. Ce frein à l’achat, <a href="http://www.lowes.com/" rel="nofollow">la chaîne de magasins de rénovation américaine Lowe’s</a> a trouvé un moyen de le faire disparaître. Son secret : la Holoroom. Implantée pour l’heure dans 19 points de vente aux Etats-Unis, cette salle d’un genre particulier permet aux clients de créer eux-même la cuisine ou la salle de bain de leurs rêves à partir d’une tablette puis de s’équiper d’un Oculus Rift pour la visualiser en 3D. Après avoir reproduit la pièce en question (taille, configuration…), ils choisissent et disposent librement meubles, appareils ou encore revêtement de sol à partir de la liste des produits en vente. Le casque de VR leur offre ensuite la possibilité d’admirer le rendu de leur création pour infirmer ou confirmer leurs choix. De quoi favoriser la prise de décision et faire avancer le consommateur dans le processus d’achat en toute confiance.



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À l’an zéro de la réalité virtuelle, la route est encore longue avant que cette technologie ne s’installe durablement dans les usages, au-delà des early adopters. Des expériences souvent inconfortables et peu convaincantes, des casques onéreux encore perfectibles : il reste du pain sur la planche. Quoi qu’il en soit, la RV est pleine de promesses pour le secteur du retail, du côté des consommateurs — les avatars en 3D pour essayer des vêtements en ligne, c’est pour bientôt ! — mais surtout des détaillants… qui ont tout intérêt à ne pas laisser filer cette opportunité !

V-commerce : la réalité virtuelle s’empare du retail

Le Gear VR de Samsung, l’Oculus Rift de Facebook, le Vive d’HTC et Valve : depuis la commercialisation des premiers casques de RV en début d’année, la réalité virtuelle n&rsquo;en finit pas de faire parler d&rsquo;elle. Accueillie comme la grande révolution high tech de 2016, cette technologie aux allures futuristes qui immerge l’utilisateur dans un [&hellip;]

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Messenger bots

Poncho le chat m&eacute;t&eacute;o &nbsp;

Mica, le chat hipster

Humani : Jessie&rsquo;s story

Depuis quelques mois, les géants du web ne jurent que par un mot : chatbots. Propulsés sous le feu des projecteurs en avril dernier avec l’annonce de <a href="https://developers.facebook.com/docs/messenger-platform" target="_top" rel="noopener">Messenger Platform</a>, la plate-forme de Facebook pour construire ses propres bots, ces petits programmes conversationnels ont déjà conquis le fleuron des applis de messagerie instantanée — <a href="https://www.skype.com/fr/" target="_top" rel="noopener">Skype</a>, <a href="https://www.kik.com/" target="_top" rel="noopener">Kik</a> ou encore <a href="https://slack.com/" target="_top" rel="noopener">Slack</a>, pour n’en citer que quelques-unes. Une invasion fulgurante qui ne semble pas prête de s’arrêter et qui pourrait bien bouleverser le paysage numérique&#8230; Mais à quoi servent ces robots qui enflamment la toile, au juste ?



<h2>Qu’est-ce qu’un chatbot ?</h2>



Pour faire livrer un bouquet de fleurs, obtenir la météo du jour ou commander un Uber, il suffisait jusqu’ici d’un rapide tour sur la toile ou de télécharger l’application mobile dédiée au service. En quelques clics, l’affaire était pliée : rien de bien compliqué. Mais dans leur inlassable quête de simplicité, les acteurs de l’innovation technologique n’ont pas encore dit leur dernier mot. Leur dernier dada en date : les chatbots. Issu de la contraction de « chat » (discuter) et « robot », le terme chatbot — dit aussi &nbsp;« chatterbot », ou, de manière beaucoup moins exotique, « <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Agent_conversationnel" target="_top" rel="noopener">agent conversationnel</a> » — désigne un programme informatique capable d’entretenir une conversation écrite ou orale (Siri, ça vous dit quelque chose ?) avec l’utilisateur grâce à <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_artificielle" target="_top" rel="noopener">l’intelligence artificielle</a>. Récemment devenus la coqueluche des applications de discussion, les chatbots se sont mués en véritables assistants personnels conçus pour effectuer des tâches précises à la demande : réserver un hôtel, booker un billet de train, acheter de nouvelles chaussures…



<h2>Chatbots : un peu d’histoire</h2>



<h2><img id="image" style="width: 600px; height: 397px;" title="ELIZA bot" src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/08/88.png" alt="Conversation avec le bot ELIZA"></h2>



Accueillis cette année comme une petite révolution, <a href="https://blog.hubwa.re/infographie-les-%C3%A9l%C3%A9ments-clefs-pour-conna%C3%AEtre-et-comprendre-les-chatbots-62c86e1a1fa8#.i4s58wpsz" target="_top" rel="nofollow noopener">les chatbots n’ont en réalité rien d’une nouveauté</a> : le tout premier, baptisé <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/ELIZA" target="_top" rel="noopener">ELIZA</a>, a vu le jour en 1966. Mis au point par <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Weizenbaum" target="_top" rel="noopener">Joseph Weizenbaum</a>, un ingénieur du MIT, ce robot — <a href="http://nlp-addiction.com/eliza/" target="_top" rel="noopener">toujours en ligne à l’heure actuelle</a> — simule la conversation d’un psychothérapeuthe rogérien à grands renforts de reformulations et de « dites m’en plus ». Et malgré une tendance très prononcée à tourner autour du pot, ELIZA avait à l’époque su convaincre certains utilisateurs qu’elle était de chair et d’os ; un phénomène que l’histoire retiendra comme <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_ELIZA" target="_top" rel="noopener">l’effet ELIZA</a>.



Deux décennies plus tard, à l&rsquo;heure de la popularisation d&rsquo;Internet, les chatbots s’imposaient comme la tendance du moment et s’ouvraient au grand public. On se souviendra notamment de <a href="https://en.wikipedia.org/wiki/SmarterChild" target="_top" rel="noopener">SmarterChild</a>, le bot d’<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/AOL_Instant_Messenger" target="_top" rel="noopener">AIM</a> utilisé par plus de <a href="http://www.blogdumoderateur.com/google-vs-chatbots/" target="_top" rel="nofollow noopener">30 millions de personnes</a>, ou encore de <a href="https://en.wikipedia.org/wiki/Office_Assistant" target="_top" rel="noopener">Clippy</a>, l’assistant trombone un brin agaçant intégré à Microsoft Office jusque 2007. Mais il faudra attendre 1994 — soit près de trente ans après la création d’ELIZA — pour que le terme « chatterbot&nbsp;» soit employé pour la première fois. Le responsable : <a href="https://en.wikipedia.org/wiki/Michael_Loren_Mauldin" target="_top" rel="noopener">Michael L. Mauldin</a>, fondateur du moteur de recherche au chien noir Lycos. Après s’être faits plutôt discrets ces dernières années, les chatbots font aujourd’hui un retour en force pour le moins fracassant — <a href="http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/03/24/a-peine-lancee-une-intelligence-artificielle-de-microsoft-derape-sur-twitter_4889661_4408996.html" target="_top" rel="nofollow noopener">avec Tay, son bot devenu néo-nazi sur Twitter en quelques heures</a>, Microsoft ne dira pas le contraire — et partent à l’assaut des applis de messagerie, de <a href="https://telegram.org/" target="_top" rel="noopener">Telegram</a> en passant par <a href="https://www.whatsapp.com/" target="_top" rel="noopener">WhatsApp</a> ou encore <a href="http://www.viber.com/" target="_top" rel="noopener">Viber</a>. Shopping, météo, actualités, amusement : ils sont aussi divers que variés et se multiplient à vitesse grand V. Zoom sur quelques-uns des <a href="https://www.botpages.com/" target="_top" rel="noopener">nombreux chatbots disponibles sur le marché</a>.



<h2>Quelques exemples de chatbots</h2>



<h3>Messenger bots</h3>



Sur Facebook, les développeurs n’ont pas perdu de temps pour créer leurs propres chatbots avec Messenger Platform : début juillet, <a href="http://www.presse-citron.net/il-y-a-deja-11-000-bots-sur-facebook-messenger/" rel="nofollow">on en dénombrait déjà plus de 11 000</a> dont <a href="https://www.botpages.com/bots/bsfDfKFHdYe57cmRD">Uber</a>, <a href="https://www.botpages.com/bots/ecmnA5C8QhHCPTDZe">CNN</a>, Voyages-Sncf ou encore… <a href="https://www.botpages.com/bots/TbXrfuTt7bvNTs3ej">Peggy</a>, la cochonne du Muppets show.



<h4>Poncho le chat météo &nbsp;</h4>



<h4><img id="image" style="width: 600px; height: 529px;" title="Poncho The Weather Cat" src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/08/90.png" alt="Poncho The Weather Cat"></h4>



Une créativité vestimentaire à faire jalouser Catherine Laborde, un œil constant sur la pluie et le beau temps, une pointe d’humour, <a href="https://www.google.fr/url?sa=t&amp;rct=j&amp;q=&amp;esrc=s&amp;source=web&amp;cd=2&amp;cad=rja&amp;uact=8&amp;ved=0ahUKEwiXncuFpoLOAhVEPRoKHSjFAPwQFggkMAE&amp;url=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fhiponcho%2F&amp;usg=AFQjCNHRm3lw4KhaZlP8S_o9n6BSVYfBCg">Poncho</a> a tout d’un véritable Monsieur Météo. À quelques détails près : Poncho est un chat… et un robot. Si entre parapluie ou sombrero, votre cœur balance, un simple message indiquant votre localisation mettra fin à votre dilemme et Poncho vous fournira aussitôt les prévisions météo de la journée, heure par heure ou sur 5 jours. Pour ne rien ôter à son charme, cet adorable chat en k-way s’improvise également conseiller culinaire — sa recette de guacamole vous mettra l’eau à la bouche — &nbsp;et cinématographique — &nbsp;spoiler : dans Batman vs. Superman, les deux super-héros ne tombent pas amoureux. Et si vous trouvez les bons mots, il vous invitera peut-être à boire un verre… à condition de savoir manier la langue de Shakespeare !



<h4>Mica, le chat hipster</h4>



Large moustache, lunettes rondes sur le nez, <a href="https://www.facebook.com/hipstercatbot/" target="_top" rel="noopener">Mica</a> est un chat hype et sophistiqué. Un hipster, comme qui dirait. Les lieux branchés pour manger ou boire un café n’ont pour lui aucun secret. Indiquez lui l’endroit de votre choix et il se fera un plaisir de vous fournir une liste des spots de fooding les plus en vogue dans le coin, avec toutes les informations nécessaires et un plan pour y accéder. Mais attention, Mica ne s’exprime qu’en anglais. Le français, c’est trop mainstream…



<h4>Humani : Jessie’s story</h4>



Votre vie manque cruellement de drame ? Une petite crise existentielle à gérer viendrait la pimenter ? Meet <a href="https://www.google.fr/url?sa=t&amp;rct=j&amp;q=&amp;esrc=s&amp;source=web&amp;cd=1&amp;cad=rja&amp;uact=8&amp;ved=0ahUKEwj2leSSpoLOAhUJvBoKHeMlBk0QFggcMAA&amp;url=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fjessiehumani&amp;usg=AFQjCNH_IpCgSXI_ZV-Ah5MflgcDhheTmw&amp;bvm=bv.127521224,d.d2s" target="_top" rel="noopener">Jessie</a>, une jeune femme d’une vingtaine d’année qui vient de se faire renvoyer et a 24 heures pour décrocher un nouveau job, dénicher un appartement et trouver un petit-ami. Sacré programme. Votre mission, si vous l’acceptez : aider Jessie et lui prodiguer vos précieux conseils pour la guider à travers cette journée plus que chargée. L’histoire repose entièrement sur les décisions que vous prendrez (9 dénouements différents sont possibles)… et elles sont de taille. Alors, Jessie doit-elle continuer à chercher un logement ou aller draguer ce charmant jeune homme au bar ? &nbsp;À vous de voir. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : avec près de 30 heures de jeu et 3500 lignes de dialogue, vous ne risquez pas de vous ennuyer. Et si le jargon 100 % <a href="http://www.urbandictionary.com/define.php?term=Millenials" target="_top" rel="noopener">millenial</a> de Jessie vous effraie, notez que l’<a href="http://www.urbandictionary.com/" target="_top" rel="noopener">Urban Dictionary</a> peut grandement vous aider !



<h3>Kik bots</h3>



<h4>H&amp;M</h4>



Dans votre garde-robe d’été, c’est le vide intersidéral. Une séance de shopping s’impose, mais vous auriez bien besoin d’un petit coup de pouce. Avec <a href="https://www.botpages.com/bots/N77YeNi3oD8ioKZoS" target="_top" rel="noopener">le bot H&amp;M</a> pour Kik, problème réglé ! Après avoir renseigné quelques informations permettant d’établir votre profil personnalisé — sexe, tranche d’âge, type de style… —, le chatbot se transforme en véritable styliste personnel. Envie d’un nouveau caraco, d’un jean destroy, d’une combi ? Demandez, il vous proposera aussitôt un ensemble complet à votre image accompagné de son prix. Si la suggestion vous plaît, un simple clic vous permet d’accéder au site et d’y acheter l’article convoité. Seule ombre au tableau : le bot vous redirige automatiquement vers le site américain de la marque. Il reste toutefois un outil fort utile en cas de panne d’inspiration.



<h2>Chatbots : pourquoi un tel engouement ?</h2>



Cette fièvre des chatbots qui frappe si soudainement les géants de la messagerie instantanée n’a rien d’un hasard : elle survient dans un contexte où les applications mobiles sont de moins en moins utilisées. <a href="http://www.europe1.fr/technologies/les-chat-bots-ces-nouveaux-envahisseurs-a-lassaut-des-smartphones-2718373" target="_top" rel="nofollow noopener">D’après David Marcus, Vice Président chargé des messageries chez Facebook</a>, les utilisateurs de smartphones passent plus de 80 % de leur temps dans seulement 5 applications. Les applis de messagerie gardent la côte, au point d’être désormais plus utilisées que les réseaux sociaux, <a href="http://uk.businessinsider.com/the-messaging-app-report-2015-11?r=US&amp;IR=T" target="_top" rel="nofollow noopener">comme le démontre l’étude menée par BI Intelligence</a>. Sur Messenger et WhatsApp, les deux applications de discussion possédées par Facebook, <a href="http://www.journaldugeek.com/2016/04/19/whatsapp-et-messenger-generent-60-milliards-de-messages-par-jour/" target="_top" rel="nofollow noopener">plus de 60 milliards de messages sont d’ailleurs envoyés par jour, soit trois fois le nombre total de SMS envoyés en une journée</a>. Et du haut de son milliard d’utilisateurs, <a href="https://blog.whatsapp.com/616/Un-milliard?" target="_top" rel="noopener">WhatsApp est utilisé par une personne sur 7</a>. Rien que ça.



Avec le recul des téléchargements d’applis et le boom de l’utilisation des services de messagerie instantanée, les chatbots tombent à pic pour les entreprises. Ils donnent le coup d’envoi d’une nouvelle ère : celle du commerce conversationnel. Intégrés aux applications de discussion, les bots permettent aux mobinautes d’accéder instantanément aux services désirés sans avoir à écumer la toile, à télécharger une myriade d’applis et à s’y créer un compte — un processus long et rébarbatif. Ils simplifient donc le parcours utilisateur en le centralisant : plus besoin d’aller vers le produit, celui-ci vient directement à eux. Résultat, un maximum d’engagement et de satisfaction. La relation client s’en trouve également améliorée : ces robots permettent de contacter les marques et d’obtenir l’information souhaitée de façon immédiate. Et ce, à n’importe quel moment !



<a href="https://www.theguardian.com/technology/2016/apr/14/facebook-messenger-spammy-chatbot-must-improve-and-fast" target="_top" rel="nofollow noopener">S’il reste encore du pain sur la planche pour les perfectionner</a>, cela ne fait aucun doute : les chatbots n’ont pas fini de faire parler d’eux. Certains voient en eux <a href="http://www.telegraph.co.uk/technology/2016/03/31/the-end-of-apps-is-here-long-live-chat-bots/" target="_top" rel="nofollow noopener">la fin des applications mobiles</a>, d’autres <a href="http://www.thenational.ae/business/technology/chat-bots-are-the-latest-tech-trend-that-will-go-nowhere" target="_top" rel="nofollow noopener">se montrent beaucoup plus mesurés</a>&#8230; <a href="https://twitter.com/ted_livingston" target="_top" rel="noopener">Ted Livingston</a>, CEO de Kik, <a href="http://medium.com/@tedlivingston/the-future-of-chat-isn-t-ai-b07f65bc252#.2xrpgzwo3" target="_top" rel="noopener">a pour sa part déjà tranché</a> : « Les applications de messagerie seront pensées comme les nouveaux navigateurs ; les bots seront les nouveaux sites Internet. C’est le début d’un nouvel Internet. »



Et vous, que pensez-vous des chatbots ?

Chatbots : la déferlante

Depuis quelques mois, les géants du web ne jurent que par un mot : chatbots. Propulsés sous le feu des projecteurs en avril dernier avec l’annonce de Messenger Platform, la plate-forme de Facebook pour construire ses propres bots, ces petits programmes conversationnels ont déjà conquis le fleuron des applis de messagerie instantanée — Skype, Kik [&hellip;]

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Un socle technique &agrave; la pointe de l&rsquo;innovation


Un projet en faveur de la mobilit&eacute; durable


Yea!, la voiture en libre-service int&eacute;gral


En mai 2015, <a href="http://citiz.coop/" rel="nofollow">Citiz</a>, premier réseau coopératif d’autopartage français lançait Yea!, un service de location de voitures en libre accès dans le centre ville de Strasbourg. Le concept : 30 Smart ForFour mises à disposition des abonnés strasbourgeois 24h/24 sans contrainte de réservation, de durée ni de stationnement. À l’époque, <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/blog/article/nouvelle-realisation-yea-pour-citiz">Citiz avait fait appel à nous pour réaliser le site web dédié à Yea! ainsi que la mise à jour de l’appli mobile Citiz</a> afin d’y intégrer ce nouveau service. Un an plus tard, le succès de Yea! n’est plus à prouver. L’offre a su conquérir 700 usagers et comptabilise à ce jour plus de 10 000 utilisations. Une réussite qui pousse aujourd’hui Citiz à s’attaquer à la ville rose avec Yea! Toulouse. Pour accompagner le lancement de ce nouveau service, Citiz nous a confié la refonte du site Yea! ainsi que la mise à jour de son application mobile.



<h2>Yea! Toulouse : c’est quoi ?</h2>



<h3>Un projet en faveur de la mobilité durable</h3>



Yea! Toulouse, c’est un projet collectif en faveur de <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89comobilit%C3%A9" rel="nofollow">la mobilité durable</a> avec un triple enjeu : économique, social mais également environnemental. En proposant une alternative flexible et accessible à la voiture personnelle, Citiz se positionne en faveur d’une Toulouse décongestionnée et éco-friendly. Car les chiffres parlent d’eux-mêmes : d’après une étude menée par 6T, <a href="http://citiz.coop/uploads/media/default/0001/01/aa7b83f972c682ca964960f44a61f4f4ed577371.pdf" rel="nofollow">1 véhicule partagé équivaudrait à… 9 voitures individuelles</a>. De quoi faire réfléchir les toulousains, qui se sont mobilisés pour financer le projet via <a href="https://fr.ulule.com/yeacitiz/" rel="nofollow">la campagne de crowdfunding</a> lancée par Citiz Toulouse. En 45 jours, les 8000 € requis ont été largement récoltés grâce aux 186 généreux contributeurs.



<h3>Yea!, la voiture en libre-service intégral</h3>



Depuis le 16 mai dernier, en plus des 44 voitures Citiz déjà disponibles dans la ville depuis 2009, les toulousains peuvent donc profiter de 20 véhicules Yea! &#8211; des Smart ForFour &#8211; accessibles en free-floating (libre service intégral). Seule condition : être adhérent à Citiz, avec ou sans abonnement. Une fois leur inscription effectuée, les utilisateurs n’ont plus qu’à télécharger l’appli mobile Citiz sur <a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=coop.lestilleuls.citiz&amp;hl=fr" rel="nofollow">Google Play</a> ou <a href="https://itunes.apple.com/fr/app/citiz/id726185820?mt=8" rel="nofollow">l’Apple Store</a>. Grâce à la mise à jour que nous avons réalisée, elle leur permet de géolocaliser d’un simple coup d’oeil la voiture Yea! la plus proche et de la bloquer durant 15 minutes, le temps de se rendre à son emplacement. S’ils croisent un véhicule Yea! dans la rue, ils peuvent l’emprunter immédiatement en passant leur badge sur le lecteur. Pas besoin, donc, de réservation. Ils peuvent garder la voiture aussi longtemps qu’ils le souhaitent et la déposer où ils le veulent dans le périmètre de dépose libre de 10 km². D’ici 2017, 10 Yea! supplémentaires devraient être mis en circulation à Toulouse, montant ainsi leur effectif à 30.



<h2>Un socle technique à la pointe de l’innovation</h2>



Pour mener à bien ce projet, nos experts ont opté pour <a href="https://symfony.com/" rel="nofollow">le framework Symfony</a>, leader mondial en PHP. Fort d’une communauté internationale de plus de 2000 contributeurs, ce framework Open Source puissant et sécurisé permet de développer des applications robustes, fiables et respectant les bonnes pratiques de l’industrie. La technologie JavaScript <a href="https://angularjs.org/" rel="nofollow">AngularJS </a>et le framework <a href="http://ionicframework.com/" rel="nofollow">Ionic</a> ont également été utilisés. Ils facilitent la réalisation d’applications performantes et interactives. &nbsp;



<h2>Un design revisité</h2>



Le lancement de Yea! Toulouse a été l’occasion pour le site dédié au service de s’offrir un petit lifting. Tout en conservant les coloris rouge et noir emblématiques des véhicules Yea!, l’interface présente désormais une apparence graphique et une structure plus centrées sur l’expérience utilisateur. L’architecture de l’information a été revue avec une meilleure hiérarchisation des contenus pour une navigation fluide et intuitive. Des pictogrammes épurés et élégants viennent enrichir les textes et le contraste des graisses permet une meilleure mise en exergue des informations essentielles.



Chez Les-Tilleuls.coop, nous sommes fiers d’avoir participé à cette initiative conjuguant solidarité, coopération et éco-mobilité. <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/contact">Si vous avez un projet, n’hésitez pas à nous contacter pour en discuter ! </a>

Nouvelle réalisation : la refonte de Yea! pour Citiz

En mai 2015, Citiz, premier réseau coopératif d’autopartage français lançait Yea!, un service de location de voitures en libre accès dans le centre ville de Strasbourg. Le concept : 30 Smart ForFour mises à disposition des abonnés strasbourgeois 24h/24 sans contrainte de réservation, de durée ni de stationnement. À l’époque, Citiz avait fait appel à [&hellip;]

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Bring Your Own Team : de quoi parle-t-on ?


Aucun &#8211; bon &#8211; manager n’est censé l’ignorer : le bien-être au travail est un facteur clef de la performance des salariés. Pour mettre en place un environnement d’entreprise propice à l’épanouissement, la synergie d’équipe est un critère incontournable… qui n’a rien d’une sinécure. Trouver l’équation parfaite entre personnalités, compétences, forces et faiblesses requière une vraie maîtrise de l’art du puzzle de la part des recruteurs. Afin de contourner ce processus laborieux, la start-up irlandaise spécialisée dans le paiement en ligne <a href="https://stripe.com/" target="_top" rel="noopener">Stripe</a> a eu une idée : embaucher des équipes d’ores et déjà constituées. Ce concept, elle l’a baptisé Bring Your Own Team (BYOT &#8211; Ramenez votre propre équipe). Une initiative au goût d’inédit qui pourrait bien révolutionner les pratiques de recrutement.



<h2>Bring Your Own Team : de quoi parle-t-on ?</h2>



Stripe a officiellement donné le coup d’envoi de cette campagne de recrutement pas comme les autres <a href="https://stripe.com/blog/bring-your-own-team" target="_top" rel="noopener">dans un billet de blog</a>, le 25 avril dernier. Partant du constat que <a href="https://twitter.com/patrickc/status/724713112767602688" target="_top" rel="noopener">le processus d’embauche traditionnel de la Silicon Valley ne répondait pas à leurs attentes</a>, les dirigeants de Stripe ont décider d’innover. Leur pari audacieux, ils le résument en une métaphore lourde de sens : « L’industrie a toujours fait en sorte d’embaucher des atomes, nous voudrions essayer d’embaucher des molécules. » &nbsp;Au lieu d’embaucher plusieurs profils individuels, Stripe se lance donc dans le recrutement d’équipes entières, déjà formées. De véritables viviers de productivité que <a href="http://www.journaldunet.com/web-tech/start-up/1154489-billion-dollar-start-up-club/" target="_top" rel="noopener">la start-up valorisée à 5 milliards de dollars</a> entend bien mettre à profit pour poursuivre son expansion.



La campagne Bring Your Own Team s’adresse avant tout aux développeurs. Toutefois, les groupes mêlant développeurs, designers, managers et chefs de produit ne sont pas totalement exclus. Les équipes intéressées &#8211; allant de 2 à 5 personnes &#8211; sont donc invitées à postuler par mail en précisant dans quel contexte elles se sont connues et ont été amenées à travailler ensemble. Chacun des membres doit veiller à inclure son CV ainsi que la description du rôle pour lequel il postule. Quelques exemples de projets réalisés en groupe sont appréciés. Les membres des équipes sélectionnées seront interviewés individuellement le même jour et auront au moins un problème à résoudre collectivement. Le cas échéant, Stripe fera une proposition d’embauche à tout le groupe &#8211; chacune des recrues étant totalement libre de refuser ou d’accepter.



<h2>Un concept qui séduit</h2>



Si cette opération n’a que quelques jours, elle fait déjà couler de l’encre. Sur Twitter, les internautes accueillent la campagne avec enthousiasme. Tous &#8211; ou presque &#8211; saluent une initiative&nbsp;« géniale » qui vient formaliser une pratique déjà en place <a href="http://www.therimsports.com/leagues-2/mens-womens-basketball" target="_top" rel="noopener">dans les milieux sportifs</a> et <a href="https://east.ucbtheatre.com/show/3148" target="_top" rel="noopener">artistiques</a> et, de manière officieuse, dans le monde de l’entreprise. Ils sont d’ailleurs nombreux à s’étonner que cette méthode ne soit pas encore une norme en vigueur. Un engouement qui en dit long sur le visage du recrutement dans les temps à venir. &nbsp;



<blockquote class="wp-block-quote twitter-tweet tw-align-center">This is a pretty brilliant move by <a href="https://twitter.com/stripe">@Stripe</a>: BYOT <a href="https://t.co/HlBDx4akwj">https://t.co/HlBDx4akwj</a></blockquote>



<blockquote class="wp-block-quote twitter-tweet tw-align-center">Shocking this isn&rsquo;t already a thing companies do. Brilliant, <a href="https://twitter.com/stripe">@stripe</a>! Expect others to follow suit. BYOT: <a href="https://t.co/ZAaxoiZ7Tt">https://t.co/ZAaxoiZ7Tt</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/hiring?src=hash">#hiring</a>— Mark Sorenson (@marksorens) <a href="https://twitter.com/marksorens/status/725070502071570433">April 26, 2016</a></blockquote>



<blockquote class="wp-block-quote twitter-tweet tw-align-center">BRING YOUR OWN TEAM <a href="https://twitter.com/hashtag/byot?src=hash">#byot</a> is a brilliant hiring strategy! Hard to believe this is not the norm! <a href="https://t.co/Xg9X50WuS2">https://t.co/Xg9X50WuS2</a> Dream Team reborn!— Mary Camacho (@marycamacho) <a href="https://twitter.com/marycamacho/status/726519318100344832">April 30, 2016</a></blockquote>
<script async="" src="//platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>



À ce stade de l’expérience, il est encore trop tôt pour mesurer son efficacité. L’heure est encore aux hypothèses et les interrogations vont bon train. Quelles conséquences ce type de recrutement aura-t-il sur la diversité dans l’entreprise ? Comment impactera-t-il sa culture interne ? Que se passera-t-il si l’un des membres d’une équipe ne s’avère pas compétent une fois à son poste ? Autant de questions en suspens qui trouveront leur réponse au cours des prochains mois.



En attendant, une chose est sûre : en cas de succès, cette démarche devrait inspirer bon nombre d’entreprises de l’IT, <a href="http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-le-recrutement-problematique-n-1-des-pme-et-start-ups-it-64614.html" target="_top" rel="noopener">un secteur porteur&nbsp;qui peine pourtant toujours à recruter</a>. Chez Les-Tilleuls.coop, nous n’avons pas attendu l’exemple de Stripe pour sauter le pas. Pour renforcer notre effectif en cette période de croissance, nous avons embauché&nbsp;une équipe de 2 développeurs qui avaient répondu ensemble à l&rsquo;une de nos offres d&#8217;emploi. Ils nous ont rejoints cette semaine, et nous leur souhaitons encore la bienvenue parmi nous !

Bring Your Own Team, le recrutement en équipe

Aucun &#8211; bon &#8211; manager n’est censé l’ignorer : le bien-être au travail est un facteur clef de la performance des salariés. Pour mettre en place un environnement d’entreprise propice à l’épanouissement, la synergie d’équipe est un critère incontournable… qui n’a rien d’une sinécure. Trouver l’équation parfaite entre personnalités, compétences, forces et faiblesses requière une [&hellip;]

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Une application construite avec Symfony et API Platform


Roubaix sur les traces de B&eacute;a Johnson


Roubaix Z&eacute;ro D&eacute;chet, un projet &eacute;co-citoyen


<a href="http://www.planetoscope.com/dechets/614-production-de-dechets-en-france.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">350 kilos : c’est la quantité d’ordures ménagères qu’un français produit en moyenne chaque année</a>. Multiplié par les 66 millions d’habitants qui peuplent l’Hexagone, ce chiffre atteint le score désastreux de 33,7 millions de tonnes par an. À l’échelle planétaire, c’est une véritable catastrophe qui se joue pour l’environnement. Si cette inquiétante réalité reste souvent ignorée, certains ont pris le parti de s’engager pour changer les choses. C’est le cas de <a href="https://twitter.com/roubaix?lang=fr" target="_blank" rel="nofollow noopener">la ville de Roubaix</a> qui a lancé <a href="http://www.roubaixzerodechet.fr/" target="_blank" rel="nofollow noopener">l’opération Roubaix Zéro Déchet</a> et <a href="http://www.roubaixzerodechet.fr/le-defi-familles/" rel="nofollow">le Défi Familles</a>. L’objectif : encourager les familles à réduire de moitié leur production de déchets ménagers. Dans le cadre de cette initiative, la ville de Roubaix a fait appel à nous pour effectuer la refonte de l’application web dédiée au Défi Familles.



<div class="wp-block-image"><figure class="aligncenter is-resized"><img loading="lazy" src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/08/155.png" alt="roubaix 0 déchet" width="485" height="350" title="roubaix 0 déchet"/></figure></div>



<h2>Roubaix sur les traces de Béa Johnson</h2>



Si l’opération Zéro Déchet est pionnière sur le sol français, à l’étranger, elle n’a rien d’une nouveauté. <a href="http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/05/28/comment-san-francisco-s-approche-du-zero-dechet_4421676_3244.html" rel="nofollow">Depuis 2002, San Francisco (USA) l’expérimente déjà</a> avec l’ambition de ne plus produire aucun déchet non recyclable ou compostable d’ici 2020. C’est dans la banlieue nord de cette ville, à Mill Valley, que réside <a href="http://www.zerowastehome.com/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Béa Johnson</a>, <a href="http://www.nytimes.com/2010/02/16/fashion/18spy.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">surnommée la “prêtresse du zéro déchet” par le New York Times</a>. En 2008, cette française expatriée aux Etats-Unis a troqué son mode de vie basé sur l’hyperconsommation à l’américaine contre une approche zero waste (zéro déchet). Sa devise : refuser, réduire, réutiliser, recycler, composter. Une philosophie de vie qui ne laisse pas de place au superflu. <a href="http://www.zerowastehome.com/2013/05/my-wardrobe-inventory-in-pictures.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">Sa garde robe provient exclusivement de friperies et est réduite à son strict minimum</a> &#8211; elle tient dans un bagage à main ! -, elle achète l’intégralité de ses aliments en vrac et fabrique elle-même cosmétiques &#8211; si, si, la poudre de cacao peut faire office de blush -, produits de beauté et ménagers. &nbsp;Résultat : <a href="http://www.lexpress.fr/actualites/1/styles/bea-johnson-chantre-du-zero-dechet_1742068.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">les déchets produits en un an par Béa Johnson, son mari et ses deux fils tiennent dans un bocal de 183 grammes</a>. Cet engagement pour l’environnement, elle en a fait un best-seller, <a href="http://www.amazon.fr/Z%C3%A9ro-d%C3%A9chet-B%C3%A9a-Johnson/dp/2352042577" target="_blank" rel="nofollow noopener">Zero Waste Home (Zéro Déchet)</a>, qui l’amène aujourd’hui à parcourir le monde pour présenter sa démarche. Véritable porte-parole du mouvement zéro déchet, c’est elle qui a inspiré la ville de Roubaix pour son projet éco-citoyen Roubaix Zéro Déchet.



<h2>Roubaix Zéro Déchet, un projet éco-citoyen</h2>



La première édition de l’opération Roubaix Zéro Déchet a été lancée fin 2014. 101 familles roubaisiennes s’étaient alors portées volontaires pour participer au Défi Familles&nbsp;avec un but : générer le moins de déchets possible. Pour les accompagner tout au long de l’aventure, la mairie avait multiplié les initiatives, de l’organisation d’ateliers thématiques au prêt de poules et de poulaillers. Et le succès avait été au rendez-vous puisqu’en novembre 2015, <a style="text-align: justify; font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="http://www.roubaixzerodechet.fr/2015/11/10/defi-zero-dechet-bilan/" target="_blank" rel="nofollow noopener">70 % des familles avaient réduit leurs déchets de plus de 40 % et 25 % de plus de 80 %</a>. Une réussite qui a poussé la ville de Roubaix à renouveler l’opération. En janvier dernier, 120 familles se sont donc engagées dans le projet qui&nbsp;bénéficie d’une belle couverture médiatique &#8211;&nbsp;<a style="text-align: justify; font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="http://lci.tf1.fr/jt-20h/videos/2016/roubaix-une-centaine-de-familles-participe-a-l-operation-zero-8709740.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">TF1 lui a notamment consacré un reportage diffusé au journal de 20h</a>.



<h2>Une application construite avec Symfony et API Platform</h2>



<figure class="wp-block-image"><img src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/08/77.jpg" alt="Roubaix Zéro Déchet, graph" title="Roubaix Zéro Déchet"/></figure>



Pour le second round de l’initiative Zéro Déchets, l’application web consacrée au Défi Familles nécessitait l’ajout de nouvelles fonctionnalités. La ville de Roubaix a choisi de confier cette refonte à notre équipe de développeurs. La logique métier de l’application est entièrement construite sur <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://symfony.com/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Symfony, le leader open-source des frameworks en PHP</a> auquel nous contribuons toujours plus activement &#8211;&nbsp;<a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://twitter.com/coopTilleuls/status/692386928449196033">nous avons d’ailleurs été le deuxième plus gros contributeur à l’outil l’an dernier</a>. Du côté de l’API, nos experts ont utilisé <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://api-platform.com/">API Platform</a>, <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://les-tilleuls.coop/fr/blog/article/les-tilleuls-coop-lance-api-platform-1-0" target="_blank" rel="noopener">le framework PHP basé sur Symfony destiné aux projets API-First et construit par nos soins</a>. La nouvelle version de l’application permet désormais aux administrateurs de gérer les utilisateurs, l’organisation et l’inscription aux ateliers, trier les pesées des déchets et envoyer une newsletter aux participants. Les familles inscrites au Défi Familles peuvent quant à elles renseigner l’ensemble des informations les concernant en répondant à un quizz sur leurs pratiques de consommation, enregistrer leurs pesées de déchets, garder un oeil sur leur progression grâce aux statistiques et comparer leurs résultats à la moyenne roubaisienne. Ils ont également accès à un agenda des ateliers proposés et peuvent s&rsquo;y inscrire en ligne. Le tout via une interface intuitive, user-friendly et aux couleurs de l&rsquo;écologie&nbsp;!



Chez Les-Tilleuls.coop, nous sommes fiers d’avoir apporté notre contribution à une démarche éco-responsable sensible aux enjeux de la préservation de l’environnement.&nbsp;Vous avez vous aussi un projet à concrétiser ? <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://les-tilleuls.coop/fr/contact" target="_blank" rel="noopener">N’hésitez pas à nous contacter pour en discuter !</a>

Nouvelle réalisation : Roubaix Zéro Déchet

350 kilos : c’est la quantité d’ordures ménagères qu’un français produit en moyenne chaque année. Multiplié par les 66 millions d’habitants qui peuplent l’Hexagone, ce chiffre atteint le score désastreux de 33,7 millions de tonnes par an. À l’échelle planétaire, c’est une véritable catastrophe qui se joue pour l’environnement. Si cette inquiétante réalité reste souvent [&hellip;]

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Mobilegeddon 2 : &agrave; quoi s&rsquo;attendre ?


<a href="https://les-tilleuls.coop/fr/blog/article/seo-google-favorise-desormais-les-sites-mobile-friendly" target="_blank" rel="noopener">Le 21 avril 2015, Google mettait à jour son algorithme en y ajoutant un nouveau critère pour le classement des sites web sur mobile : la compatibilité mobile</a>. Surnommé « le Mobilegeddon » par les internautes dès son annonce quelques mois plus tôt, ce changement avait semé la panique chez les webmasters du globe qui redoutaient une véritable « apocalypse mobile ». Près d’un an plus tard, la firme de Mountain View poursuit sa croisade. Sur son blog, elle a annoncé le 16 mars dernier une nouvelle mise à jour de son algorithme pour les recherches effectuées depuis un mobile. Prévu pour mai prochain, le « Mobilegeddon 2 » devrait pénaliser davantage les sites qui n’ont pas encore sauté le pas du mobile-friendly. Alors, à quoi s’attendre ?



<div class="wp-block-image"><figure class="aligncenter is-resized"><img loading="lazy" src="https://api.les-tilleuls.coop/wp-content/uploads/2021/08/71.png" alt="Mobilegeddon" width="500" height="350" title="Mobilegeddon"/></figure></div>



<h2>Mobilegeddon 1 : quels impacts ?</h2>



<h3>Beaucoup de bruit pour rien</h3>



<a href="http://searchengineland.com/how-large-is-googles-mobile-friendly-algorithm-larger-than-panda-or-penguin-217026" target="_blank" rel="nofollow noopener">Avant même le lancement du premier Mobilegeddon</a>, Google promettait une mise à jour bien plus impactante que <a href="https://googleblog.blogspot.fr/2011/02/finding-more-high-quality-sites-in.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">Panda</a> &#8211; conçu pour sanctionner les sites aux contenus de mauvaise qualité &#8211; et <a href="https://search.googleblog.com/2012/04/another-step-to-reward-high-quality.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">Penguin </a>&#8211; destiné à traquer le référencement abusif. Lors de son premier déploiement en 2011, Panda avait affecté 11,8 % des requêtes et ce, rien qu’aux Etats-Unis. Le filtre Penguin avait quant à lui impacté 3,1 % des mots-clés à son lancement en 2012. Mais face à ces deux bouleversements majeurs, le premier Mobilegeddon n’a pas eu l’effet dévastateur attendu.



Le média anglophone Search Engine Land, spécialisé dans le référencement, <a href="http://searchengineland.com/mobile-update-small-business-study-shows-nothing-220983" target="_blank" rel="nofollow noopener">ne mâche pas ses mots pour le dire</a> : « Cette mise à jour de l’algorithme a été moins intéressante qu’un replay du <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Mayweather_contre_Pacquiao" rel="nofollow">match de boxe entre Mayweather et Pacquiao</a> [annoncé comme le combat du siècle mais incroyablement ennuyeux, NDLR] ou que la sortie d’un autre best of de Queen. [&#8230;] Nous soupçonnons le Mobilegeddon d’être un canular manigancé par une bande de développeurs WordPress sans emploi. » Dans le même article daté de mai 2015, Search Engine Land analyse l’impact du Mobilegeddon sur le classement de 69 cabinets juridiques de Seattle, dont 12 non optimisés pour la navigation mobile, dans les résultats de recherche mobile. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes. Entre le groupe des sites mobile-friendly et les autres, l’étude révèle une variation de 2 %&#8230; en faveur des sites non compatibles mobile ! &nbsp;



<h3>Le boom du mobile-friendly</h3>



En prédisant un changement qui aurait, selon ses propres mots, <a href="https://webmasters.googleblog.com/2015/02/finding-more-mobile-friendly-search.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">un « impact significatif » sur les résultats de recherche mobile</a>, la firme de Mountain View s’est donc quelque peu emballée. Drama queen much?&nbsp;Sur ce point, certains y vont de leur propre analyse. <a href="http://marketingland.com/mobilegeddon-wasnt-happened-127633" target="_blank" rel="nofollow noopener">D’après Marketing Land</a>, Google aurait volontairement joué avec les nerfs des référenceurs pour servir son propre intérêt. À l’heure où de plus en plus de mobinautes désertent le moteur de recherche pour les applications mobiles, le géant du web aurait cherché à sauver sa couronne en accélérant la transition des sites internet vers le mobile-friendly.



Quoi qu’il en soit, pari réussi ! <a href="https://www.smashingmagazine.com/2016/03/googles-mobilegeddon-aftermath-eight-months-better-mobile-web/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Smashing Magazine</a> rapporte ainsi que 11 mois après son entrée en vigueur, le premier Mobilegeddon a provoqué une hausse de 25 % des sites adaptés pour le mobile. 85 % d’entre eux ont choisi <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/blog/article/infographie-le-responsive-design" target="_blank" rel="nofollow noopener">le Responsive Design</a> (l’affichage s’adapte automatiquement à la taille de l’écran), modèle par ailleurs recommandé par Google. 11 % ont quant à eux préféré le <a href="https://developers.google.com/webmasters/mobile-sites/mobile-seo/configurations/dynamic-serving?hl=fr$" target="_blank" rel="nofollow noopener">Dynamic Serving</a> (une version différente du code HTML est générée pour chaque type d’appareil mais l’URL demeure la même). Les 4 % restants ont créé une URL distincte pour leur version mobile. Du côté des sites e-commerce, ils sont désormais 71 % à être mobile-friendly, contre 58 % au moment de la mise à jour.



<h2>Mobilegeddon 2 : à quoi s’attendre ?</h2>



Après avoir provoqué avec succès une véritable ruée vers le mobile-friendly, Google n’allait pas s’arrêter en si bon chemin. Pour contraindre les derniers récalcitrants, la firme a préparé une nouvelle mise à jour, <a href="https://webmasters.googleblog.com/2016/03/continuing-to-make-web-more-mobile.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">annoncée officiellement sur son blog</a>. À partir du mois de mai, les sites non optimisés pour la navigation mobile &#8211; car, oui, ils existent encore &#8211; devraient donc voir leur position dans les résultats de recherche mobile chuter… pour de bon, cette fois. Google précise toutefois que les pages fournissant un contenu pertinent et de qualité pourraient éventuellement conserver leur classement, même si elles ne sont pas mobile-friendly. Les sites d’ores et déjà compatibles mobile n’ont bien entendu pas de souci à se faire.



<h2>Mobile-friendly : mode d’emploi</h2>



Pour les autres, <a href="http://googlewebmastercentral-fr.blogspot.fr/2014/11/internautes-mobiles-pages-adaptees-mobile.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">Google fournit un ensemble de guidelines à respecter</a> afin d’obtenir le précieux label (à noter qu’il s’applique aux pages individuelles) :



<ul><li style="text-align: justify;">Utiliser une police d’écriture suffisamment lisible pour que l’utilisateur n’ait pas à zoomer sur la page ;</li><li style="text-align: justify;">Espacer les liens et les boutons pour éviter les mauvais clics ;</li><li style="text-align: justify;">Adapter le contenu à la taille de l’écran de sorte à ne pas avoir à zoomer ou scroller horizontalement ;</li><li style="text-align: justify;">Éviter les contenus non lisibles (comme les animations Flash) ;</li><li style="text-align: justify;">Ne pas utiliser des interstitiels de téléchargement d’applications qui cachent une grande partie du contenu, <a href="https://webmasters.googleblog.com/2015/09/mobile-friendly-web-pages-using-app.html" target="_blank" rel="noopener">un critère en vigueur depuis novembre dernier</a>.</li></ul>



<a href="https://developers.google.com/webmasters/mobile-sites/" target="_blank" rel="noopener">Il propose également un site entièrement consacré au mobile-friendly</a> avec des conseils accessibles aux débutants comme aux plus initiés : erreurs fréquentes, bonnes pratiques SEO… En cas de doute sur la compatibilité mobile d’un site, <a href="https://www.google.com/webmasters/tools/mobile-friendly/" target="_blank" rel="noopener">un test peut être effectué en ligne</a> à tout moment. Il précisera les points d’amélioration le cas échéant.



<a href="http://www.presse-citron.net/google-pour-la-premiere-fois-les-recherches-sur-mobile-ont-depasse-celles-sur-ordinateur/" target="_blank" rel="noopener">Cet été, les recherches Google sur mobile ont officiellement dépassé les recherches sur PC</a>. Avec cette évolution des pratiques de navigation, l’adoption d’une stratégie mobile-friendly, <a href="https://les-tilleuls.coop/fr/blog/article/2015-l-ere-du-m-commerce">voire mobile-first</a>, s’avère plus que jamais salutaire… Mobilegeddon ou non !

SEO : Google annonce le Mobilegeddon 2

Le 21 avril 2015, Google mettait à jour son algorithme en y ajoutant un nouveau critère pour le classement des sites web sur mobile : la compatibilité mobile. Surnommé « le Mobilegeddon » par les internautes dès son annonce quelques mois plus tôt, ce changement avait semé la panique chez les webmasters du globe qui [&hellip;]

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Google Hands Free, comment &ccedil;a fonctionne ?

En France, le paiement mobile peine &agrave; convaincre

En septembre dernier, Google déployait son application de paiement mobile <a href="https://www.android.com/pay/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Android Pay</a> aux Etats-Unis. Ce portefeuille mobile qui compte chaque mois <a href="http://www.pocket-lint.com/news/136939-google-hands-free-payments-app-what-is-it-and-how-does-it-work" target="_blank" rel="nofollow noopener">1,5 million de nouveaux utilisateurs</a> permet d’enregistrer ses cartes de crédit, de débit et de fidélité et d’utiliser son smartphone comme moyen de paiement aux terminaux sans contact. Quelques mois plus tard, la firme de Mountain View entend déjà passer à la vitesse supérieure en introduisant le paiement&#8230; sans les mains ! Baptisé <a href="https://get.google.com/handsfree/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Google Hands Free</a> (Google Mains Libres), ce système permet aux utilisateurs d’iOS et d’Android de payer leurs achats sans même sortir leur téléphone de leur poche. Pratique, quand on a les mains pleines !



<h2>Google Hands Free, comment ça fonctionne ?</h2>



Pour utiliser Google Hands Free, rien de bien compliqué. Il s&rsquo;agit dans un premier temps d’installer l’application sur son smartphone &#8211; à noter que celle-ci est compatible à partir de Jelly Bean v4.2 pour Android et de l’iPhone 4S pour iOS &#8211; et de s’y créer un profil en renseignant ses initiales et les informations de sa carte de crédit ou de débit, sans oublier d’y ajouter sa photo. Si l’utilisateur se trouve dans un magasin équipé, son smartphone le détecte ensuite automatiquement grâce au Bluetooth, au WIFI et aux services de géolocalisation. <a href="http://www.identivenfc.com/fr/what-is-nfc" target="_blank" rel="nofollow noopener">La technologie NFC (Near Field Communication)</a> n’est donc pas utilisée. Une fois en caisse, il lui suffit de dire “I want to pay with Google” (“Je veux payer avec Google”) pour régler sans avoir à présenter son téléphone ni sa carte bancaire. L’hôte(sse) de caisse vérifie alors son identité à partir de ses initiales et de la photo associée à son compte Google Hands Free. Dans quelques points de vente, ce processus est simplifié encore davantage : une caméra est installée et procède elle-même à la vérification par reconnaissance faciale en prenant une photo &#8211; immédiatement effacée, assure Google. Au cours du paiement, le numéro de carte bancaire n’est à aucun moment partagé avec le commerçant et une notification est envoyée à l’utilisateur lors de chaque transaction pour contrer les tentatives de fraude.



Actuellement en phase d’expérimentation, Hands Free est testé par une poignée d’enseignes <a href="http://www.mcdonalds.com/" target="_blank" rel="nofollow noopener">McDonald’s</a> et <a href="https://www.papajohns.com/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Papa John’s</a> ainsi que quelques restaurants locaux dans la région de <a href="https://en.wikipedia.org/wiki/South_Bay" target="_blank" rel="nofollow noopener">South Bay</a>, à San Francisco. Pour encourager les utilisateurs, Google leur offre une réduction de 5 $ valable sur leur premier achat dans les enseignes participantes. La firme de Mountain View n’a pour l’heure pas encore déterminé si ce service serait à terme disponible en France, ni quand. Dans un pays où le paiement mobile peine à s’imposer, l’accueil pourrait bien ne pas être des plus chaleureux&#8230;



<h2>En France, le paiement mobile peine à convaincre</h2>



<a href="https://blog.fivory.com/fivory-et-ipsos-sondent-les-francais-sur-le-paiement-mobile/" target="_blank" rel="nofollow noopener">D’après une étude menée par Ipsos</a>, si 88 % des français sont bel et bien conscients que leur smartphone peut être utilisé comme moyen de paiement, 82 % ne souhaitent pas en avoir la possibilité <a href="http://www.economie.gouv.fr/files/sondagecsa_synthese.pdf" target="_blank" rel="nofollow noopener">selon un sondage du CSA</a>. En cause : de multiples freins. 79 % des sondés ne sont pas convaincus par la sécurité de ce système et craignent d’être davantage exposés au piratage et aux tentatives de fraude. Pour 75 % d’entre eux, le m-paiement est considéré comme un dispositif trop complexe qui requiert une maîtrise avancée de la technologie. Enfin, 67 % des personnes interrogées déplorent un réel manque d’informations à propos du paiement mobile.



En dépit de ces réticences, les banques et opérateurs téléphoniques sont de plus en plus nombreux dans l’Hexagone à prendre exemple sur les géants américains Google (<a href="https://www.android.com/pay/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Android Pay</a>, <a href="https://get.google.com/handsfree/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Hands Free</a>) et Apple (<a href="http://www.apple.com/apple-pay/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Apple Pay</a>) et sur le fabricant sud-coréen Samsung (<a href="http://www.samsung.com/us/samsung-pay/" rel="nofollow">Samsung Pay</a>) en lançant leur application de m-paiement sans contact. C’est le cas d’Orange avec <a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.orange.orangecash.fr&amp;hl=en" target="_blank" rel="nofollow noopener">Orange Cash</a>, en place depuis octobre dernier. Basée sur le protocole NFC, &nbsp;l’appli permet aux détenteurs d’un forfait mobile Orange, Sosh ou M6 Mobile, d’un smartphone et d’une SIM compatible NFC de régler leurs achats en magasin en présentant simplement leur téléphone au terminal de paiement sans contact, ou en ligne. Il leur faut pour cela créer un compte et le recharger régulièrement en y virant des fonds &#8211; un procédé qui engendre des frais de 0,79 € s’il est effectué par carte bancaire&#8230; BNP Paribas a également franchi le pas avec son service <a href="https://mabanque.bnpparibas/fr/notre-offre/comptes-cartes-et-services/cartes-et-moyens-de-paiement/payer-avec-mon-mobile/kix" target="_blank" rel="nofollow noopener">Kix</a>, tout comme le Crédit Mutuel et le CIC avec <a href="https://www.creditmutuel.fr/cmcee/fr/banques/particuliers/telephone-mobile/acceder-aux-services-bancaires/paiement-sans-contact-cityzi/cityzi.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">m-carte</a>, la Société Générale avec son <a href="https://particuliers.societegenerale.fr/essentiel_quotidien/service-de-paiement-mobile.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">Service de Paiement Mobile</a> ou encore La Banque Postale avec l’appli <a href="https://www.labanquepostale.fr/particulier/produits/quotidien/paiement_mobile/sans_contact.caracteristiques.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">Paiement Mobile Sans Contact</a>.



Pour le moment, <a href="http://www.cbanque.com/actu/55283/paiement-mobile-objets-connectes-des-gadgets-sans-interet-pour-les-francais" rel="nofollow">seuls 8 % des français auraient déjà effectué un paiement en magasin avec leur smartphone</a>. Un chiffre qui sera peut-être revu à la hausse dans le courant de l’année 2016 lorsque <a href="http://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/021725149064-apple-finalise-larrivee-dapple-pay-en-france-1202969.php" target="_blank" rel="nofollow noopener">le système de paiement mobile très attendu de la firme à la pomme, Apple Pay, sera officiellement lancé en France</a>. Et vous, êtes-vous prêt à adopter le m-paiement ?

Google Hands Free, le paiement mobile sans les mains

En septembre dernier, Google déployait son application de paiement mobile Android Pay aux Etats-Unis. Ce portefeuille mobile qui compte chaque mois 1,5 million de nouveaux utilisateurs permet d’enregistrer ses cartes de crédit, de débit et de fidélité et d’utiliser son smartphone comme moyen de paiement aux terminaux sans contact. Quelques mois plus tard, la firme [&hellip;]

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Qu&rsquo;est-ce qu&rsquo;une phrase de passe ?


Qu’il s’agisse de se connecter à sa messagerie, de consulter son compte en banque ou encore d’accéder à sa page Facebook, les mots de passe font intégralement partie de notre quotidien numérique. Véritables sésames vers notre vie privée, ils ont une importance capitale pour la protection de nos données personnelles. Seulement voilà : avec le perfectionnement des techniques de piratage, ils sont de plus en plus faciles à cracker. Pour maximiser la protection de ses comptes, une alternative existe. On l’appelle la phrase de passe.



<h2>Qu’est-ce qu’une phrase de passe ?</h2>



Comme son nom l’indique, <a href="http://windows.microsoft.com/fr-fr/windows-vista/what-is-a-passphrase" rel="nofollow">une phrase de passe</a> ou passphrase est composée de plusieurs mots qui forment une phrase. Contrairement au mot de passe généralement composé de 8 à 10 caractères, elle se distingue par sa longueur : le plus souvent, elle contient un minimum de 16 caractères et en pratique, <a href="http://www.macalester.edu/its/about/policies/strong-passwords/" target="_blank" rel="nofollow noopener">elle oscille entre 20 et 30 caractères</a>.



<h2>Pourquoi utiliser une phrase de passe ?</h2>



Pour qu’un mot de passe soit considéré comme robuste, il doit être long et inclure une myriade de caractères de tous types. Chiffres, signes de ponctuation, majuscules : tout doit y passer ! Autant d’exigences qui requièrent des trésors d’imagination et qui font de la mémorisation un véritable casse-tête. À raison d’un mot de passe différent par compte, la tâche devient tout bonnement impossible sans s’armer d’un bon bloc-notes ou d’un <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Gestionnaire_de_mots_de_passe" target="_blank" rel="nofollow noopener">gestionnaire de mot de passe</a>. Une aide précieuse qui n’est cependant pas sans risques compte tenu de l’ingéniosité des hackers&#8230;



Quelle que soit sa longueur, la phrase de passe se retient quant à elle aisément en utilisant de simples moyens mnémotechniques. Et pour ne rien enlever à son charme, elle oppose une résistance nettement supérieure aux tentatives de cracking, comme l’illustre <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://xkcd.com/936/" target="_blank" rel="nofollow noopener">le comic strip signé Randall Munroe, alias XKCD</a>. <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://media-mediatemple.netdna-ssl.com/wp-content/uploads/2015/08/03-brute-force-attack-opt.png" target="_blank" rel="nofollow noopener">Une étude menée par Smashing Magazine</a> a révélé qu’en cas d’<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Attaque_par_force_brute" target="_blank" rel="nofollow noopener">attaque par force brute</a> (tester toutes les combinaisons de caractères possibles jusqu’à trouver la bonne) avec un PC standard, un mot de passe complexe de 8 caractères ne contenant aucun mot du dictionnaire &#8211; tU.w@b3e &#8211; finirait par être cracké en 2 ans. Une phrase des plus banales comme “thisisasimplephrase” mettrait quant à elle 3 billions d’années ! Autrement dit, mission impossible. <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="http://www.journaldugeek.com/2015/04/14/conseils-edward-snowden-mot-de-passe-securise/" target="_blank" rel="nofollow noopener">Rien d’étonnant, donc, à ce que l’utilisation des passphrases soit hautement recommandée par Edward Snowden</a>, l’ex-consultant de l’Agence de sécurité américaine (NSA) célèbre pour ses révélations sur la surveillance de masse menée par les Etats-Unis.



<h2>Comment optimiser sa phrase de passe ?</h2>



La solidité d’une phrase de passe dépend de plusieurs critères dont le premier est sans conteste sa longueur. Plus elle contiendra de mots, plus elle sera à même de résister aux attaques par force brute&nbsp;et <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Attaque_par_dictionnaire" target="_blank" rel="nofollow noopener">par dictionnaire</a> (tenter tous les mots du dictionnaire). À condition, cependant, que ces mots n’aient aucun lien entre eux et soient choisis de manière totalement aléatoire. Pas question, non plus, d’utiliser une phrase tirée d’une oeuvre existante &#8211; film, livre, chanson&#8230; &#8211; qui pourrait être retrouvée en quelque clics.



Besoin d’inspiration ? Prenons un exemple : lamaplafondhierpaddle. La combinaison de ces mots ne fait pas sens en elle-même mais avec un peu d’imagination, il est aisé de la garder en tête en se répétant la phrase “hier, j’ai vu un lama faisant du paddle au plafond”. Et parce que deux précautions valent mieux qu’une, il est possible &#8211; et conseillé ! &#8211; de complexifier la phrase en y introduisant majuscules, espaces, symboles, fautes d’orthographe et/ou chiffres, comme lamaplafondhierpa2le. Cet ajout renforce ainsi sa sécurité sans pour autant compromettre sa facilité de mémorisation.



À la création d’un mot de passe, un choix entre sécurité et utilisabilité s’opère inévitablement. Ce n’est pas le cas pour la phrase de passe, qui s’impose de son côté comme une protection à la fois solide et user-friendly. L’un comme l’autre pourraient cependant vivre leurs derniers mois puisque le <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/World_Wide_Web_Consortium" target="_blank" rel="nofollow noopener">World Wide Web Consortium</a> (W3C) entend bien les reléguer aux oubliettes. Pour ce faire, il a mis en place un groupe de travail, le <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://www.w3.org/2015/12/web-authentication-charter.html" target="_blank" rel="nofollow noopener">Web Authentification Working Group</a>, dont la mission est d’élaborer d’ici le 8 février 2017 <a style="font-family: inherit; line-height: 1.42857; background-color: #ffffff;" href="https://siecledigital.fr/2016/02/23/w3c-les-inventeurs-du-web-veulent-supprimer-le-mot-de-passe/" target="_blank" rel="nofollow noopener">un tout nouveau système d’authentification basé sur l’appareil utilisé pour s’identifier</a>. Wait and see !

Sécurité : optez pour la phrase de passe

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